portal informasi 2022

Les Meilleurs Et Les Pires Films De 2019 Selon La Rédac’

Les Meilleurs Et Les Pires Films De 2019 Selon La Rédac’
Les Meilleurs Et Les Pires Films De 2019 Selon La Rédac’

Alors que 50’année touche à sa fin, la rédaction revient sur ses joies et ses pleurs et vous suggest un bilan des meilleurs et pires films de 2019 selon chaque rédacteur.





Le superlative films 2019 de Marie





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Warner Bros




Joker





Des plans à couper le souffle mettant parfaitement en exergue la operation exceptionnelle de Joaquin Phoenix (comme dans beaucoup de ses films). Le Joker est né et il nous fascine autant qu’il head rend mal à l’aise. De quoi nous faire cogiter après le visionnage de ce chef-d’œuvre anti-héroïque et politique.





Hors normes





La claque de fifty’année qui fait rire et qui fait pleurer. Une
histoire touchante inspirée de la réalité mettant en scène de vrais autistes à
la prestation bluffante (cite spéciale pour Benjamin Lesieur, alias Joseph).
Résultat : un celluloid débordant d’humanisme dans lequel Vincent Cassel et
Reda Kateb splendid.





A couteaux tirés





Thriller comique brillamment pensé et orchestré par Rian
Johnson qui remonte dans notre estime après boy loupé des Derniers Jedi. Les
personnages tous addition singuliers les uns que les autres – et interprétés par un
casting de dingue – sec’amusent à déjouer nos attentes en exécutant un scénario
très bien ficelé.





Auraient pu y estimator : Portrait de la jeune missy en feu, La Favorite, Ma vie avec John F. Donovan





Le flop films 2019 de Marie





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Netflix




Solo (Netflix)





Pas de suspens ou d’émotion pour ce celluloid Netflix. Des
personnages inutiles, un jeu d’acteur qui laisse à désirer, un scénario
inintéressant et sans suspens. Le combo gagnant d’1h30 d’ennui !





IO (Netflix)





Un film de scientific discipline-fiction prometteur qui second’enlise dans des
platitudes philosophiques sur 50’humanité sans jamais faire décoller 50’alchimie
entre les deux acteurs principaux. Seule la fin parvient à attirer notre
attending, mais trop tard, c’est déjà le générique…





Good Sam (Netflix)





Good Sam souffre d’un plot intriguant mal mis en œuvre.
Entre manque de suspens et amourettes de téléfilm de Noël, le scénario manque
cruellement de profondeur. Le vrai seul bespeak positif reste le choix de
fifty’actrice principale.









Le summit films 2019 de Charley





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©The Jokers




Parasite





Une réussite
absolue tant dans le fond que la forme. Brûlot social, thriller à suspense,
home invasion, fable familiale…Parasite mêle les genres à merveille, se
renouvelle complètement à chaque twist et prouve encore une fois le génie de
Bong Joon-ho, un des addition grands plasticiens actuels du 7e Art. Ajoutons à cela
un casting parfait, et on tient un des meilleurs films du réalisateur ainsi que
la claque de 50’année.





Marriage Story





Un
uppercut émotionnel que ce Marriage Story. Non content d’offrir à Adam Driver
et Scarlett Johansson deux de leurs meilleures performances, le cinema offre un
reckon sur 50’amour, le mariage et le divorce d’une maturité, d’une sensibilité
et d’une pertinence rare.  La BO de Randy Newman est merveilleuse, le
casting secondaire également. On en ressort ému et impressionné devant une
masterclass d’acting aussi aboutie.





Une Vie Cachée





Après des
années d’expérimentation, Terrence Malick revient à un cinéma narratif et summation
linéaire pour conter cette histoire d’un homme mû par ses convictions
humanistes en plein régime du Reich. Une Vie Cachée est une merveille visuelle
où chaque design décroche la mâchoire,offrant une immersion sans précédent durant
3h. Les acteurs sont sensationnels, la BO de James Newton Howard est son
meilleur effort depuis summation de 10 ans, et c’est à genoux qu’on ressort de
cette nouvelle œuvre désormais culte de Malick.





Auraient pu y estimator : La Favorite de Yorgos Lanthimos, The Irishman de Martin Scorsese, Un  Grand Voyage vers la Nuit de Bi Gan, Klaus de Sergio Pablos





Le flop films 2019 de Charley





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Netflix




Polar





La palme du summation mauvais celluloid de l’année haut la main : clipesque, set à vomir, une série B gorasse qui flirte bon le nanar et 50’indigence. C’est écrit avec nonchalance, le casting frise fifty’amateurisme et même Mads Mikkelsen n’est pas capable de réhausser le faible niveau de boy personnage. Une farce cheap tout simplement. 





Hellboy





Non content d’empêcher Guillermo Del Toro de finir sa trilogie, Lionsgate décide de rebooter la franchise pour attirer un nouveau populace et démarrer une nouvelle franchise.Les choses ne se sont évidemment pas passées comme prévu : un des pires comicbook movies always, du R-Rated sanglant en fashion cache-misère d’un cinema qui ne sait pas exploiter sa mythologie, à la narration hachée et 50’sense of humour douteux, couroné par une Milla Jovovich en roue libre. C’est set, c’est bruyant pour rien, et c’est également complètement oubliable.





Paris est à mind





Qu’go far-t-il quand des comédiens et des diplômés français de cinéma sortent un film expérimental ? Eh bien ça ne réussit pas toujours comme en témoigne cette proffer crypto-auteuriste lorgnant vers Leos Carax (sans le génie). atomic number 79 départ réjouissant dans sa manière de dépeindre une histoire d’amour contrariée et sur le déclin,le cinema se révèle au last pompeux et prétentieux. Une belle coquille vide caricaturale, démonstrative et sans fond. Un mauvais cinema tout simplement.









Le acme films 2019 de Emeric





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Marvel Studios




Avengers : Endgame





Parce que c’est la decision de ten ans d’univers partagé. Certes ce n’est pas le meilleurs opus de la quadrilogie, mais il n’en reste pas moins un événement rondement mené, un climax cinématographique spectaculaire dans lequel tout les personnages se retrouvent pour une decision épique. Un divertissement qui n’hésite pas à jouer sur le drame et ne surjoue jamais la menu des séquence d’activeness, pour bien faire les choses. Un indicate concluding qui restera dans les annales.





Us





Jordan Peele brain avait déjà foutu une claque avec Get out, ici il récidive, en un peu moins bien certes, avec cette ovni horrifique. C’est le genre de cinema dont tu arrives à la fin et soit tu equally aimé, soit tu es complètement resté à côté tellement le réalisateur met sur pellicule boy propre délire. C’est bizarre effectivement, mais qu’est-ce que c’est bon d’avoir un film d’horreur qui sort out des gongs habituels. Sans parler de cette BO absolument parfaite et puissante. Rare sont les films dont tu arrives à la fin, et tu sais que tu vas y repenser sans cesse, décortiquant chaque morceau pour tout comprendre. Celui-là en fait parti, et c’est tant mieux.





Chucky Poupée du mal





Alors celui-là, ce n’est pas le meilleur cinema de 2019, mais je tenais à le mentionner. Je crois que jamais auparavant un film ne m’avait autant surpris. Le nanard se sentait à des millions de kilomètres, comme bon nombre de remakes de films d’horreurs cultes, puis tu es assis dans ton fauteuil de cinéma et tu equally le réalisateur qui te fait comprendre à fifty’écran « Non non, cette fois-ci on va faire les choses bien. » Et effectivement, à la grande surprise générale, bah c’est bien. Le scénario est écrit consciencieusement pour qu’il tienne la route de bout en bout, qu’il esquive les facilités et poncifs du genre. Tout est fait pour être fluide et logique, même les moments les summation WTF. MEME LORSQUE QU’UNE TÊTE HUMAINE EST EMBALLÉ DANS DU PAPIER CADEAU. C’est dire fifty’endeavor d’écriture. La poupée maléfique est modernisée à tel indicate qu’elle aurait sa home dans un épisode de Black Mirror, et le réalisateur mais en boite tout cela de manière léchée. Big upwards à la composition lumière qui est à tomber. Qui fifty’eut cru.





Le flop films 2019 de Emeric





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Warner Bros




Shazam





Avec autant de celluloid de super-héros de nos jours, on se demande encore comment on peut tomber aussi bas. La Warner keep de creuser, arrivant avec exploit à fournir un cinema pire que BvS, Suicide Squad et même Justice League. Ils avaient tous le mérite d’être au moins un minimum divertissant malgré leur ratage. Là, on est devant un téléfilm de Noël M6. C’est moche, c’est à peine drôle, il y aucune activity digne de ce nom.





Ma





Quand tu equally un concept pour faire un cinema sympa, mais qu’au terminal tu le gâches totalement parce que t’es incapable de faire le tri entre ce qui est intéressant ou not dans ton celluloid. Qu’est-ce qu’on en a fiche de la vie des lycéens clichés, de leur fête là. On vient voir le cinema pour que Octavia Spencer fasse du sale, et le pire qui arrive c’est un mec qui se fait transfuser du sang de chien. Et dire qu’on est passé à un poil de fesse de l’émasculation de Luke Evans sur thou écran…





Polar (Netflix)





Je n’en ai pas beaucoup de souvenirs, donc c’est assez représentatif de la qualité globale. Mais je me souviens quand même que c’était sacrément débile, mais vraiment quoi. Le mec abat une armée de méchant avec des sulfateuses contrôlées par des gants… Voilà voilà… Ah oui et Mads Mikkelsen tue un chien durant boy sommeil, aller savoir pourquoi. Bref, on ne peut même pas se rattraper sur l’activeness qui est mise en scène et filmée comme un DTV… Netflix, tu peux clairement mieux faire. 









Le meridian films 2019 de Loulou





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©The Jokers




Parasite





Trop peu connu avant la sortie de cette bombe, le cinéma
sud-coréen a gagné la reconnaissance qu’il mérite avec Parasite. Critique
acerbe de la société actuelle, le film mélange avec brio comédie, thriller et
drame. Si le casting frôle la perfection, Song Kang-ho, aperçu également dans
le chef d’oeuvre Memories of Murder, est au sommet de boy art. Déroutant et
dérangeant, Parasite ne laissera personne insensible. Riches contre pauvres, le
combat est bien souvent inégal.





Joker





A 50’picture de Daniel Day-Lewis, Joaquin Phoenix est un acteur qui
sec’implique totalement quand il accepte un rôle. Avec Joker il démontre encore
une fois quel 1000 comédien il est. Comme si le rôle d’Arthur Fleck avait été
imaginé pour lui, il illumine le film par sa prestance et son charisme. Un film
que beaucoup décrivent comme une apologie de la violence, mais qu’il faut
plutôt voir comme la chute d’un homme dans la folie. On attendait beaucoup de
ce Joker, et on n’a pas été déçu.





Les Misérables





Peut-être moins puissant que La Haine, Les Misérables n’en reste
pas moins un film coup de poing. Une plongée choc dans la brigade
anti-criminalité de Montfermeil. Le réalisateur aurait pu tomber dans la facilité
et placer les habitants dans le rôle des victimes face aux méchants policiers,
mais non. Ici, il n’y ni gentils ni méchants, seulement des hommes qui essaient
de survivre et faire leur métier du mieux possible. Un cinema sur la banlieue qui
montre à quel bespeak il est urgent que la classe politique se retrousse les
manches. Tout simplement magnifique.





Ceux qui auraient pu y calculator : Midsommar, My Beautiful Boy, Green Book : Sur les routes du sud.





Le flop films 2019 de Loulou





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Sony




Nicky Larson et le parfum de Cupidon





Oeuvre culte, le manga Nicky Larson (City Hunter en version
originale) méritait une adaptation digne de ce nom. Malheureusement le
réalisateur de Babysitting rend une copie indigeste. Pas drôle et lourdingue,
le film accumule les maladresses et peine à vraiment divertir. Peu crédible
dans le rôle du détective privé obsédé, Philippe Lacheau est à 50’ikon du celluloid,
mauvais. Si beaucoup de critiques ont été indulgentes, il faut quand même
avouer qu’on ne retrouve jamais 50’esprit du manga ou de l’animé.





Hellboy





Après deux opus signé Guillermo del Toro, la franchise Hellboy s’est payé un reboot avec David Harbour (Jim Hopper dans Stanger Things) dans le rôle du démon rouge. Le film se rate sur a peu près tous les points. Effets spéciaux à la ramasse, scénario inintéressant, il en devient fatiguant et pas du tout divertissant. Une énorme déception tant cette nouvelle vision du comics master était attendue.





Avengers : Endgame





Un choix qui peut surprendre, mais même si la fin de la saga des
super héros Marvel est devenue le celluloid qui a généré le addition de recette dans
l’histoire du box part, il est loin d’être parfait. Beaucoup trop long, il
connaît de vrais trous d’air durant les trois heures qu’il dure. A vouloir
offrir un maximum de personnages, le film se perd et devient brouillon. Un bon
divertissement, mais très éloigné du chef-d’oeuvre annoncé.





Ceux qui auraient pu y reckoner : Anna, Godzilla II : Roi des Monstres, Men inward Black : International.









Le height films 2019 de Nicolas





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Netflix




The Irishman





The Irishman a fait fortement parler de lui et à juste titre.
Scorsese psyche embarque pour un dernier tour de manège en second’entourant de ses
acteurs fétiches (De Niro, Pesci, Keitel) et d’un petit nouveau inconnu au
bataillon, Al Pacino. Ce dernier long-métrage sur la mafia avec un tel casting
se révèle être un incontournable pour les amateurs du cinéma scorsesien. 





Little joe





gold contraire de The Irishman, Little Joe est sorti complètement
inaperçu. Pourtant, la cinéaste Jessica Hausner signe un très astucieux cinema de
genre dans lequel une jolie fleur génétiquement modifiée joue à la conquête du
monde. Sa superbe mise en scène, ses bons acteurs et boy scénario atypique en
font une oeuvre qui mérite amplement sa home dans ce elevation three. 





Un thou voyage vers la nuit





Le genre de celluloid qui vous endort et qui vous impressionne tout à
la fois. Si vous vous voulez découvrir fifty’un des meilleurs plans séquences de
l’histoire du cinéma ainsi qu’une brillante exercise de la 3D, ce cinema
réalisé par 50’ultra talentueux cinéaste chinois, Bi Gan, est fait pour
vous. 





Ceux qui auraient pu être dans la liste : Bacurau, Ad Astra, Parasite, La Favorite, Joker





Le flop films 2019 de Nicolas





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©Paramount Pictures




Gemini human





C’est tellement moche qu’on en a fait des cauchemars. Vendu
comme une révolution cinématographique, le celluloid d’Ang Lee avec Will Smith entre
directement dans la catégorie des navets : scénario digne d’un téléfilm M6 des
années 90, acteurs paumés et un rendu visuel désastreux. 





Le traître 





Long-métrage fleuve sur la mafia italienne, l’histoire du Traître
de Marco Bellocchio s’éparpille façon puzzle et la mise en scène ne se révèle
pas assez à la hauteur pour sauver le celluloid de ses faiblesses narratives.
Néanmoins, à la vue des critiques dithyrambiques, je me sens bien seul…





Sorry We Missed You





Ken Loach est de retour avec une nouvelle critique virulente de
la société à l’heure d’Uber, Amazon et Apple. Si la férocité de Loach demeure
intacte, le scénario quant à lui passe son temps à sur-dramatiser toutes les
situations. À la fin, cela devient quelque peu indigeste. On comprend aisément
le propos, ce n’était pas la peine de faire de 50’excès de zèle. 





Ceux qui auraient pu être dans la liste : Marie Stuart, Reine d’Écosse ; le prochain Star Wars que je n’ai pas encore vu (mauvaise foi ?).









Le elevation films 2019 de Axel





Les meilleurs et les pires films de 2019 selon la rédac’
©The Jokers




Parasite





Palme d’Or à Cannes, Bong Joon-Ho signe un nouveau chef d’œuvre. Il coche toutes les cases du thriller, de la comédie, du celluloid catastrophe mais également social, savage, démentiel, c’est tout à la fois. C’est le meilleur cinema de 50’année.





Once Upon a Time… inward Hollywood





Ce neuvième celluloid est un best-off de Tarantino, un hommage vibrant
à l’avènement du nouvel Hollywood qui trouve dans un concluding uchronique le
paroxysme de boy fashion trigger-happy, bavard et décalé. Peut-être le meilleur celluloid de
QT.





The Irishman





On voulait éviter de nommer Netflix parce qu’un celluloid se
déguste au cinéma, donc dieu sait qu’on aurait aimé voir The Irishman sur chiliad
écran. Mais devant la qualité et l’honnêteté de ce dernier, il fallait le
mentionner. C’est tout simplement le dernier cinema sur la mafia réunissant les
dernières figures mythiques du cinéma de genre, Martin Scorsese y signe là son
parfait will, une œuvre presque autobiographique démente.





Auraient pu y reckoner : Joker, car un cinema de super-héros rated-R ça fait du bien, ou Pokemon Detective Pikachu car vraiment sympathique.





Le flop films 2019 de Axel





Critique 6 Underground : l’overdose de Michael Bay…
©Netflix




6 Underground (Netflix)





Les films Netflix sont rarement bons, ceux de Michael Bay souvent crétins, six Underground est l’enfant hyperactif des deux. Epileptique, complètement illisible, cette série B mal fichue verse dans la plus abjecte orgie visuelle jamais télédiffusée. Heureusement qu’il n’est pas sorti au cinéma.





Dark Phoenix





Matthew Vaughn doit faire des cauchemars en voyant ce que
Simon Kinberg a fait de boy reboot des X-Men. Un dernier celluloid pas spectaculaire
pour un sou, prévisible, paresseux et déprimé. Malgré son titre, la franchise
n’aura pas proposé un dernier baroud d’honneur face au rachat de Disney et
préfère second’éteindre minablement.





Glass





Attendu comme la conclusion de sa trilogie initiée avec le
génial Incassable et poursuivie avec fifty’efficace Split, Shyamalan advise avec Glass
un cinema balourd, sans G intérêt, désuet de tout élément narratif
surprenant. Pire, le personnage éponyme de Samuel L. Jackson est relégué au
rang de sous intrigue attendue. Dommage.





Auraient pu y computer : Polar parce que Mads Mikkelsen second’est perdu dans la neige et Godzilla parce que le CGI porn c’est crado.





Et vous, quels sont vos tops et flops de 2019 ?